Les prêts entre particuliers, même entre proches, se terminent souvent mal si les conditions ne sont pas claires dès le début. Quelles sont les conditions à respecter pour éviter le conflit entre les deux parties ?
Les conditions à respecter
Le site lemagdeleconomie.com vous conseille sur les démarches à faire dans le cadre d’un prêt entre particulier afin d’éviter une issue désagréable pour tous. En effet, la confiance ne suffit pas, il faut établir un contrat qui prouve qu’il y a bien eu emprunt. Ce site propose deux types de contrats : un acte sous seing privé et un acte notarié. Le premier est un acte établi par les deux parties ou par un avocat et qu’il faut enregistrer au service des impôts au-delà de 760 euros sous peine d’amende. En cas de litige, la date de la souscription du prêt et sa nature sont des preuves tangibles de l’existence du prêt. Quant à l’acte notarié, il est établi en présence d’un notaire et destiné à des prêts plus importants. Le site informe qu’il y a des frais à payer en ayant recours à un notaire.
Les avantages du prêt entre particuliers
Ce site vous éclaire sur les avantages d’un prêt entre particuliers par rapport à un prêt bancaire classique. Effectivement, les modalités et l’échéance de remboursement ainsi que le taux d’intérêt sont librement fixées par les deux parties. D’autre part, le prêteur particulier est moins exigeant sur les conditions de revenus du solliciteur. Cette pratique est donc une alternative pour les interdits bancaires ou les personnes à faibles revenus. Néanmoins, ce site met en garde contre l’absence d’un contrat dans le cas où l’emprunteur est dans l’impossibilité de rembourser le prêt.